La chauve souri à du plomb dans l'aile.

Hier j'ai vu pour vous Batman: The Dark Knight Rises: En lisant cet avis je vous pries de tenir compte du faite que je ne suis pas un grand fan de Batman et que mon enthousiasme en est par conséquent affecté. Je pense cependant être relativement neutre dans ma critique, Bien a vous. Dans ce dernier opus on retrouve une brochette de trois acteurs de haut vole: Christian Bale notre bien aimé Bruce Wayne, au charisme indéniable mal grès ses airs de grabataire dépressif, on notera tout de même qu'il passe le film a être tenu en échec dans son rôle de Batman ce qui en définitive lui donne un coté faible a la limite du ridicule, mais la chauve souris est coriace, on a beau lui briser la colonne et le faire sauter en plein vole avec une bombe de 5 mégatonne de plutonium, I'll survive ! Bref vous l'aurez compris, le jeu d'acteur est bon, dommage que le scénario soit tirer par les cheveux. La belle Anne Hathaway embrase littéralement le role de Catwoman ! Voleuse sensuelle bourrée de charme et a la répartie piquante au possible, Anne Hathaway est pour moi le joyaux de ce film, Une catwoman sensible errant dans les méandre d'une vie dont elle a perdue le contrôle, luttant pour garder la tête hors de l'eau. Marion Cotillard dont je suis pourtant un grand fan, aura déçu dans ce film, le jeu d'actrice n'en est pas la seule raison, un rôle secondaire et fade qui se dévoile dans les dernières minutes du film se voulant "créer la surprise", ca ne compense en rien le méchant caricaturale qui sévit tout le film, visage masqué, voix robotique et force surhumaine, grandeur et décadence, mais ou est ce bon vieux joker, qui était capable de donner un frisson dans toute une sale d'un simple sourire? Le fil se finit sur une ouverture sur le future personnage de Robin, nous promettant biensur une suite aux aventures de Batman. En définitive, un film divertissant dont les 2h44 ne paraissent pas longue malgrès la déception générale. A voir pour les mordus de la chauve souris, pour les autres, il n'a rien d'un incontournable, malheuresement.